Poste PR en Ecologie Végétale – LEHNA, Lyon

Afin de renforcer les activités de recherche et d’enseignement en écologie végétale, le LEHNA (Laboratoire d’Ecologie des Hydrosystèmes Naturels et Anthropisés, UMR 5023 Université Lyon 1- CNRS-ENTPE) ouvre un poste de Professeur·e des Universités. Merci d’envoyer votre CV aux personnes contact mentionnées plus bas.

Thématique du laboratoire et situation : Le poste est à pourvoir au sein du LEHNA (UMR 5023 LEHNA, https://umr5023.univ-lyon1.fr/). Le LEHNA est un laboratoire ayant pour tutelles l’Université Claude Bernard Lyon 1 (https://www.univ-lyon1.fr/), le CNRS (http://www.cnrs.fr/) et l’ENTPE (École nationale des travaux publics de l’État, https://www.entpe.fr/).

Le LEHNA est une UMR multidisciplinaire avec une expertise sur des thématiques telles que l’écologie fonctionnelle, la biologie évolutive et l’écologie des communautés. Les objets d’études se concentrent sur les écosystèmes aquatiques continentaux, leurs gestions anthropiques et l’impact des changements environnementaux sur leur fonctionnement. La complémentarité entre écologie fonctionnelle et évolutive au sein du LEHNA présente de nombreuses opportunités pour des collaborations interdisciplinaires de recherche.

Poste chargé.e de recherche INRAe en génomique des abeilles mellifères – GenPhySe, Toulouse

Sous réserve d’ouverture définitive de la campagne de concours INRAe 2022, un poste  permanent de chargé/chargée de recherche en génomique des abeilles mellifères est susceptible d’être ouvert en 2022 dans l’unité Génétique, Physiologie et Systèmes d’Elevage (UMR GenPhySE, https://genphyse.toulouse.inra.fr, département Génétique Animale https://www.inrae.fr/departements/ga) du centre INRAE de Toulouse (https://www.inrae.fr/centres/occitanie-toulouse).

Des compétences en génétique et génomique des populations et avec une expérience en analyse de grands jeux de données sont recherchées.

La campagne de concours INRAE devrait être ouverte le 8 février 2022, sous réserve de la publication de l’arrêté d’ouverture au Journal Officiel.

Toutes les informations relatives aux compétences attendues, aux activités, aux personnes à contacter seront diffusées sur le site web INRAE (https://jobs.inrae.fr/concours). Une publicité plus large ne pourra être assurée qu’après ouverture officielle du concours.

Poste CIRAD – Chercheur.e en épidémiologie génomique des bactéries non cultivables – PVBMT, La Réunion

Description de la future affectation

Domaine

Science – Sciences de la santé

Type de contrat

CDI

Intitulé

Chercheur.e en épidémiologie génomique des bactéries non cultivables

Date de début

01/04/2022

Description du poste / de la mission

 

Vous partagez les valeurs de l’interculturalité, le partage des savoirs, ou encore la préservation de l’environnement ? Rejoignez-nous !

Vous intégrerez une équipe de recherche de l’UMR PVBMT (Peuplements Végétaux et Bioagresseurs en Milieu Tropical) basée à La Réunion dont l’objectif général est de mieux comprendre la biologie des microorganismes phytopathogènes ainsi que les facteurs pouvant conduire à leur développement épidémique. Les objectifs spécifiques de ce collectif sont (i) d’inférer les histoires et stratégies évolutives de bactéries et virus phytopathogènes, (ii) de mieux comprendre l’épidémiologie des maladies associées, et (iii) de décrypter les facteurs et bases moléculaires de l’adaptation bactérienne et virale.

L’épidémiologie, l’écologie et l’évolution des bactéries phytopathogènes transmises par insectes vecteurs, malgré leur très fort impact agronomique, demeurent assez largement méconnues du fait de leur caractère non cultivable. Vous focaliserez vos recherches sur deux modèles biologiques d’importance mondiale travaillés dans l’UMR: i) Candidatus Liberibacter, agent du Huanglongbing (HLB) des agrumes, réémergent à La Réunion, en Afrique de l’Est et dans les îles du sud-ouest de l’océan Indien et émergent aux Antilles françaises, ii)Candidatus Phytoplasma, agent du jaunissement mortel du cocotier (JMC), qui constitue un problème majeur dans la Caraïbe, en Afrique de l’Ouest et de l’Est et dont la présence a été constatée récemment à Madagascar et en Guadeloupe. Vous apporterez, par analyse bio-informatique de données de génomique à haut débit, de nouvelles connaissances sur l’évolution (histoires évolutives, importance relative de la mutation et de la recombinaison, caractérisation du génome accessoire, véhicules du transfert horizontal de gènes), et l’épidémiologie (reconstruction de chaines de transmission) de ces bactéries. Par ailleurs, vous évaluerez l’importance des phénomènes de co-infections (pathobiome), de synergie et d’adaptation aux plantes hôtes et insectes vecteurs.

La rémunération est définie en fonction de votre expérience dans le métier et au niveau du diplôme. Vous bénéficiez d’un 13e mois, de possibilité de 8 jours/mois de télétravail après 6 mois d’ancienneté et d’horaires personnalisables.

 

Profil souhaité

 

Vous maîtrisez les concepts de biologie évolutive, génomique et bio-informatique, et êtes intéressé.e par l’application de ces disciplines dans un contexte de recherche finalisée pour le développement.

Le profil recherché est celui d’un.e génomicien.ne titulaire d’un doctorat et de préférence ayant effectué en France ou à l’étranger un ou plusieurs contrats postdoctoraux sur des modèles procaryotes.

Les compétences requises sont les suivantes :
– Maîtrise des approches de génomique évolutive
– Maîtrise des outils bio-informatiques dédiés aux analyses de génomes,
– Maîtrise des concepts de biologie évolutive des interactions plantes-insectes-bactéries,
– Maîtrise des outils de biostatistiques et d’analyse de données NGS,
– Maîtrise du français et de l’anglais (parlé et écrit),
– Aptitude à la rédaction scientifique (publications internationales),
– Aptitude à répondre aux sollicitations des bailleurs et à la gestion de projets,
– Goût pour le travail en équipe et la communication,
– Volonté affirmée de travailler en milieu subtropical insulaire en collaboration avec des partenaires du Sud.

Le positionnement de ce poste est stratégique au sein de l’unité et devra contribuer à la structuration d’une partie des activités partagées par les différentes équipes de l’UMR PVBMT, avec des unités Cirad impliquées sur les modèles d’étude (PHIM, AGAP) et avec des partenaires internationaux. De très bonnes capacités relationnelles sont donc nécessaires pour interagir quotidiennement au sein d’un collectif multidisciplinaire et pour monter des projets en collaboration avec des partenaires de recherche et de développement.

 

Contraintes du poste

Travail sur écran +4h

Travail en zone tropicale/humide/subtropicale

Déplacements France et étranger fréquents

Poste ouvert aux

Cadre

Salaire base France, hors indemnités d’expatriation le cas échéant

27-37 K€

 

Pour postuler, c’est ici.

13ème Congrès international de la SFBV – 29-31 Août, Montpellier

13th_SFBV_Congress

13ème congrès de la Société Française de Biologie Végétale

29-31 août 2022 à Montpellier

 

Des orateurs internationaux/nationaux seront invités. Chaque session sera complétée par des présentations sélectionnées par le comité scientifique.

Une session de poster permettra également de promouvoir des échanges entre participants.

La SFBV récompensera d’un prix la meilleure présentation orale et le meilleur poster.

La SFBV propose des bourses pour participer au congrès.

 

site web du congrès et ouverture des inscriptions bientôt accessibles.

contact/organisation : christian.dubos@inrae.fr